terça-feira, 14 de abril de 2020


HOJE RESOLVI POSTAR ESTE TEXTO QUE ENCONTREI.
QUANDO MOREI EM LYON EU ESTUDAVA FRANCÊS EM UMA ESCOLA DE VOLUNTÁRIOS CHAMADA CPU

 (regroupe des bénévoles de diverses professions. D’initiative catholique, il est ouvert à tous les étudiants des Universités de Lyon, quelle que soit leur appartenance philosophique ou religieuse. Nous cherchons un enrichissement mutuel entre bénévoles et étudiants par une écoute, un dialogue et une attention à l'autre) 


No tempo que estudei, umas das professoras queria um testemunho para o jornal da escola. Pediu que eu escrevesse, assim o fiz. Não encontrei mais o original, ou seja, o jornal mesmo. Por enquanto posto este texto, interessante a lembrança e o que suscitou na professora naquele momento. Ela se perguntava porque eu fazia Teologia... e ficou ainda mais intrigada com as atitudes do Papa Francisco, recém feito Papa. 


Une brésilienne à Lyon

Andréia était designer d’intérieur à Campo Largo, dans la province de Paraná, Sud du Brésil.
Lors de rencontres chez les Sœurs de St André, elle découvre la spiritualité ignacienne que l’impulse vers le une plus grande rencontre avec  le Christ, qui m'a amené à découvrir leMAGIS (mot de Saint Ignacio de Lyola)  dans ma vie. Elle décide alors de suivre des cours de théologie pendant 3 ans à Curitiba.
Elle accepte alors de partir 2 ans à 1000 kms de là, à l’Université Jésuite de Belo Horizonte afin de présenter son Master basé sur Une lecture l’éthique- théologique de la sexualité selon le livre  de Xavier Lacroix (professeur à l’Université Catholique de Lyon) « le corps des chairs ».
Puis elle part à Rio de Janeiro pour son doctorat tout en donnant des cours de culture religieuse à l’Université Catholique de Curitiba. Commence alors une navette régulière de 1000 kms entre ces deux villes.
Elle s’intéresse à la philosophe française Simone Weil sur les conseils d’un de ses professeurs, Clodovis Boff. Elle choisit comme thème de son doctorat : « christianisme et corporalité : mystique et éthique chez Simone Weil ».
C’est ainsi qu’Andréia arrive à Lyon, début 2013, au cours de sa 3ème année de doctorat pour travailler sur les références bibliographiques de cette philosophe et rencontrer le spécialiste Emmanuel Gabellieri qui donne des cours à l’Université Catholique de Lyon.
Pour Simone Weil, la philosophie n’existe pas seulement dans le monde des idées, mais aussi elle doit venir en aide aux plus démunis.  Le fait d’attendre sa rencontre avec Dieu lui permet de se défaire de soi et, elle se solidarise en sa chair avec « les douleurs de l’humanité », aussi comme Jésus, qui a donné son corps pour tout le monde et pour chacun.

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